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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 11:06

Nel 115 a Roma è consacrato vescovo della comunità cristiana il romano Elvidio Sisto I° che sarà vescovo fino all'anno 125 

 
In Siria e nell'asia Minore nasce intanto l'episcopato monarchico, il Vescovo viene considerato rappresentante di Cristo e diventa capo della comunità a vita (è il primo passo verso la istituzionalizzazione papale della Chiesa che solo, appunto in questo periodo, si affermò a Roma con una funzione vescovile monarchica.

Ma sarebbero dovuti passare molti anni (V° - VI° secolo) prima che l’
appellativo pappas (padre in greco) fosse utilizzato anche nella Chiesa Romana, non senza incontrare vive resistenze con quelli dellOriente dal III° secolo in poi.  


Quando fu appunto rivendicato dai Vescovi di Roma il diritto di essere chiamati unici successori di Pietro visto che era stata questa comunità cristiana in questa città, la prima ad essere stata direttamente fondata da un Apostolo di Gesù Cristo, per tutto ciò, dora in avanti possiamo incominciare a chiamarli Papi i Vescovi di Roma.

 

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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 10:48

 

C’est à la fin du premier siècle (vers l'an 100) que nous avons les premières manifestations de chant et de musique chrétienne. Venant de l’expression musicale hébraïque se développe avec des particuliers éléments distinctifs spéciales qui seront améliorées dans le second siècle par Grégoire Magnum.


Les manifestations vocal peuvent être soit Choral que solistes, "antiphonaire" quand deux chœurs sont alternés, "Résponsorial" quand au chant de l'individu (le curé) répond le chœur.


Les textes sont généralement courts, sont tirées des Écritures bibliques et dans leur structure simple par la suite vont devenir partie intégrante du chant liturgique dans les églises chrétiennes.


En l'an 105, la communauté chrétienne de Rome, selon la tradition et la liste officiels de l'Église, consacre son VI° évêque, le Roman Alexandre I °

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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 10:46

 

  

E’ alla fine del I° secolo (intorno all’anno 100) che si hanno le prime manifestazioni di canto e musica cristiana. Provenienti dall’espressione musicale ebraica, si sviluppano con particolari elementi distintivi che nel II° secolo saranno migliorati da Gregorio Magno.

 
Le manifestazioni vocali possono essere sia corali che solistiche “Antifonali” quando due cori si alternano, “Responsoriali” quando al canto del singolo (il sacerdote) risponde il coro.

 
I testi che sono in generali brevi, vengono tratti dalle Scritture Bibliche e nella loro semplice struttura diventeranno in seguito parte integrante del canto liturgico nelle chiese cristiane.

 

Nell’anno 105 a Roma la comunità cristiana, secondo la tradizione e l’elenco ufficiale della Chiesa consacra il suo VI° vescovo, il romano Alessandro I°

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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 10:18

 

 

C’est en 111, qui a été publié le célèbre rescrit de Trajan (décision non susceptible d'appel) qu’il a envoyé au Sénat de Rome.

 

Dans ce rescrit, Trajan donne l’ordre de «libérer tous les chrétiens faussement accusé sans preuve, et à ne pas faire des recherche spécifique pour les inculper pour le semple fait qu'ils appartenaient à une autre religion."

 

Mais de les punir (comme dans les cas de corruption), si cités dans le tribunal et seulement si le nom de l’accusateur été connu et dans ce cas il faut qu'il était en possession d'éléments de preuve que l'accusé était un séditieux et qu’il avait contribué par la parole, des faits ou des actions malveillantes visé à attaquer le pouvoir établi.

En autre, les coupables qui confessent, leur culpabilité, s'ils abjurent et renoncent à leur foi monothéiste et accepté les lois constitutionnelles qui réglementé avec tolérance toutes les autres religions, les rites, les dieux, pourrait être libéré et pourrait même (après une période d'assignation à résidence et de observations) à rester à Rome .

Les intransigeants, ceux qui continue à être récidivistes doivent être immédiatement expulsé et exilé de Rome.

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19 décembre 2009 6 19 /12 /décembre /2009 09:47

E nel 111 che Traiano emanò il famoso RESCRITTO (decisione inappellabile) inviato al Senato di Roma. In questo Traiano ordinava     di scarcerare ogni cristiano accusato ingiustamente senza prove certe, ne di ricercarli appositamente e incolparli solo per il fatto che appartenessero ad un culto diverso.

"Ma di punirli (come nei casi di corruzione) se citati in tribunale solo se ne era noto il nome dell’accusatore e in questo caso sempre che questi fosse in possesso con prove certe, che limputato era un sedizioso e aveva contribuito con discorsi o azioni e fatti dolosi ad attaccare lautorità costituita. 

 
I rei confessi inoltre se abiuravano la loro monoteistica fede e accettavano le leggi costituzionaliste che regolavano con tolleranza tutte le altre fedi, riti, divinità, potevano essere rimessi in libertà e potevano anche (dopo un periodo di arresti domiciliari e di osservazioni) rimanere in Roma.

 

Gli intransigenti, per coloro che continuavano a essere recidivi dovevano essere immediatamente allontanati ed esiliati da Roma.

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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 15:04

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En l’an 76 est fait 3e évêque de Rome Anaclet, un Romain, qui est resté en charge dans sa fonction jusqu'au 88, pendant son mandat ont été mis en place 25 paroisses dans sa ville natale dirigée par des presbytères (qui étaient à l'origine des conseils des aînés ou anciens), qui dirigeait les communautés de la même manière qu'ils le sont encore les Églises évangéliques.

 
C’est vers l’an 85 qui est situé l'établissement de l'Évangile de Matthieu, sa narration comporte plutôt des accents judéo - hellénistique plus que ce que nous voyons dans les écrits de Paul, peut-être parce que cet évangile a été écrit pour une communauté chrétienne de l'Orient.

 

On y trouve un certain caractère ecclésiastique influencé sûrement du fait que les nouvelles générations de chrétiens sont de plus en plus organisés et toujours mieux paré pour bien répandre la Parole de Dieu

 

En 88, il fut consacré IVe évêque de Rome Flavius Clemens I°, qui était un Romain, qui a occupe la charge pendant 9 ans, jusqu'à 97. Avec lui nous avons la première tentative majeure de la recherche de suprématie de l'Église de Rome (et donc de son évêque, on ne parle pas encore de Pape parce que c'est un titre païen qui sera ensuite donné aux évêques de l'Église de Rome, déjà devenue une monarchie).

 

Flavius Clemens l’an 96 est l'auteur d'une ‘lettre aux Corinthiens‘ où il soutient le principe de la hiérarchie de l'Église. Avec lui s'achève l'Église des frères qui sont tous égaux devant Dieu et les hommes, maintenant (comme quelqu'un a écrit), dans "La ferme" il y a ceux qui sont plus égaux que d'autres.

 

A Corinthe ont surgi des controverses à propos de certaines frères que à force de se croire «plus égaux que d'autres» avais pris le pouvoir, pour exercer, comme nous le dirions aujourd'hui, un pouvoir despote, placés en une position dominante. Ce qui a été condamné par la communautés démocratiquement réunie qui en a décidé la destitution.

 

Flavius Clemens I° soutient et a fait valoir que les anciens déjà élus évêques par la communauté ne devrait pas être remplacé, en cette lettre il proteste énergiquement contre cette mesure de expulsion exigeant l’éloignement (l’excommunication) de ces agitateurs fauteurs de troubles de la communauté.

 

C. à d. de ceux qui évangéliquement refusait le despotisme des évêques qui de simples surveillants du bon fonctionnement de l’église étaient devenus ’’Des supérieurs aux autres frères’ les maîtres incontestables et incensurables.

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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 12:09

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Quatre ans de lutte, après la chute de Jérusalem, quatre longues années de siège, les Romains, en l’an 74 ont eu raison de la forteresse des résistants zélotes qui fut conquise par cette puissante armée romaine qui avait d’énormes moyens de guerre et qui ont du construire une grosse tour à côté de la forteresse de Massada pour pouvoir la bombarder et faire des brèches dans les murs de la forteresse pour y pouvoir entrer.

 


Sept mille, terribles et expérimentés soldats romains, contre les résistants, quelques centaines de combattants, le reste étaient des femmes, des enfants et des vieux qui avais déjà résisté au harcèlement mené par Vespasien, son fils Titus et de Flavius Silva qui a eu le passage de consignes du fils de l'empereur, lequel a réussi à briser la résistance des Juifs.

 


Flavio Silva n’a pas eu l'honneur ni le plaisir de pouvoir tuer des résistants, quand il est entré à travers les brèches faites par les bombardements intensifs, ni de faire des prisonniers pour être vendus comme esclaves, parce que les juifs ont tous choisi, au déshonneur du glaive romain, le suicide de masse.

 

 

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13 décembre 2009 7 13 /12 /décembre /2009 11:46

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Mort un empereur on en fais un autre, Vespasien été devant les murs de la ville de Jérusalem pour le siège de la cité sainte du peuple juif. Jérusalem résiste puisque tous, Juifs et chrétiens, sont prêts à mourir pour la liberté.

 


Vespasien en 70 a dû quitter la ville assiégée et partir pour Rome où il été attendus pour recevoir le consulat et la couronne d'empereur. Reste en place pour continuer le siège de Jérusalem le fils Titus avec l'ordre de:

 


Non seulement réprimer le soulèvement du peuple, adorateur de ce Dieu unique, mais de détruire la ville à mémoire éternelle, et complètement raser au sol, tous les bâtiments et surtout le temple que pour les juifs été le symbole de la présence de leur Dieu, et enfin, la recommandation d'un exemplaire massacre ‘’holocauste’’

 


Tu doit tuer autant de Juifs que te sera possible, le reste devant être conduit loin du territoire, par tous les moyens, éradiquer une fois pour toutes, tous les juifs sans exception, de ce lieu qui plus tard on lui changera même le nom.

 


Un nouveau carnage plus sanglante encore que celui de Titus aura lieu dans tout le peuple d'Israël en l’an 135 où, une fois enlevé et chassé et vendu comme esclaves, tous les Juifs, ce lieux de l’histoire Juifs a été appelé par ordre de l'empereur Adrien: L a
" P a l e s t i n e "

 


Le carnage provoqué par Titus en 70 par ordre de son père Vespasien a été énorme, colossal. Il fut l'un des plus grands crimes de l'humanité pour la férocité inouïe avec laquelle il a tué des hommes, des femmes, des enfants et des vieillards, sans se soucier de rien, des soldats qui étaient fiers de tuer des créatures sans défense qui avait le seul tort d’aimer Dieu et leurs pays.

 

 

Certains se réfugient dans la forteresse de Massada, qui a été détruite en 74. Le peuple Juif souverain a le tort de ne pas tolérer les interférences des autres peuples, d'autres rois ou empereurs que leur Dieu qui leur avait donné une loi déjà plus que millénaire, et ne désirait observer que cela.

 


Les Juifs qui ont survécu ne se sont pas pris pour des anéantis, de sorte que depuis lors, leur salut était: «L'an prochain à Jérusalem», un souhait saluts qui a duré deux millénaires, jusqu'à ce que par le traité de 1947, le souhait est devenu réalité lorsqu'il a été créé l'État d'Israël, un peuple est finalement revenu sur sa terre, la terre de Israël.

 


C'est durant cette période, en l’an 70, qui est traditionnellement reconnu la composition de l'Évangile de S. Marc, tandis que Matthieu est d’une période plus avancées. Luc encore plus tard, a été composés de matériaux des deux premiers, tandis que Jean écrivit son évangile beaucoup plus tard encore.

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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 14:25

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L'arbre de Noël fut introduit à Paris, en 1840, par la princesse Hélène de Mecklembourg, duchesse d'Orléans, et favorisé plus tard par l'impératrice Eugénie.

 

C’est à Sorel, au Québec, que l’arbre de Noël fait sa première apparition en Amérique du Nord, la veille de Noël de 1781, chez la baronne Riedesel qui reçoit un groupe d’officiers britanniques et allemands.

 

Le pouding anglais est au menu, mais le clou de la soirée est le sapin aux branches décorées de fruits et de chandelles allumées, dressé dans un coin de la salle à manger. Après les douloureuses tribulations que sa famille ont connues pendant les deux années précédentes, la baronne a décidé de marquer son retour au Canada par la traditionnelle célébration allemande.

 

Alors que le baron Frederik - Adolphe Riedesel commandait un groupe de soldats allemands envoyés par le duc de Brunswick pour aider à défendre le Canada, sa famille et lui avaient été faits prisonniers pendant la désastreuse offensive britannique dans le nord de New York en 1777. À leur libération, en 1780 seulement, ils sont revenus à Sorel.

 

En Angleterre, la mode de l’arbre de Noël ne se répand qu’au XIXe siècle grâce au prince Albert, le conjoint allemand de la reine Victoria. Fils du duc de Saxe- Combourg - Gotha (un duché du centre de l’Allemagne), Albert a grandi dans la tradition de l’arbre de Noël et, quand il épouse Victoria, en 1840, il exige qu’elle adopte la tradition allemande.

 

C’est à New York en 1882 qu’un arbre de Noël est illuminé à l’électricité pour la première fois. Edward Johnson, un collègue de Thomas Edison, décore un arbre avec un fil garni de 80 petites ampoules électriques qu’il a lui-même fabriquées.

 

La production de ces guirlandes de lumières commence vers 1890. Au Canada, un des premiers arbres de Noël illuminés à l’électricité est érigé à Westmount, au Québec, en 1896. En 1900, de grands magasins dressent de grands sapins illuminés pour attirer les clients.

 

Aujourd’hui, la tradition de l’arbre de Noël est solidement implantée partout au Canada, où le paysage triste et les nuits sombres sont égayés par l’odeur agréable du conifère scintillant de lumières multicolores.

 

Au-delà de ses origines païenne et chrétienne, l’arbre de Noël est un symbole universel de renaissance, de lumière dans la période la plus sombre.

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12 décembre 2009 6 12 /12 /décembre /2009 14:20

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 Mais c'est peut-être en Alsace qu'il faut chercher une des l'origines modernes de l'arbre de Noël. Dans ce pays, les charmes de la poésie ont enveloppé tous les actes de la vie publique et privée. Si la tradition rapporte que dès 1521 on décorait avec des branches coupées 3 jours avant Noël, on n'avait pas encore recours au sapin entier.

En 1546, la ville de Sélestat en Alsace autorise à couper des arbres verts pour Noël, au cours de la nuit de la Saint Thomas. Cependant nous trouvons la plus ancienne mention de l'arbre de Noël comme sapin entier dans une description des usages de la ville de Strasbourg, en 1605 seulement.


On y lit le passage suivant : « Pour Noël, il est d'usage, à Strasbourg, d'élever des sapins dans les maisons ; on y attache des roses en papier de diverses couleurs, des pommes, des hosties coloriées, du sucre, etc. ». La Réforme avait contribué à répandre la coutume de l'arbre de Noël, les protestants préférant le sapin aux représentations des personnages bibliques de la crèche de la Nativité.


Selon une croyance largement répandue, Martin Luther, le réformateur protestant du XVIe siècle, est le premier à avoir décoré un arbre avec des chandelles. Composant mentalement un sermon en rentrant chez lui par un soir d’hiver, il est impressionné par l’éclat des étoiles scintillant à travers les conifères.


Voulant reproduire la scène pour sa famille, il dresse un arbre dans la pièce principale et en décore les branches de chandelles allumées. Puis, la coutume de l’arbre décoré s’étend de l’Allemagne vers d’autres régions de l’Europe de l’Ouest et plus tard en Amérique du Nord.


L'un des plus anciens vestiges de la coutume de l'arbre de Noël se trouve encore dans l'Essence du Catéchisme que publia en 1642-1646 le pasteur protestant Dannhauer, de Strasbourg. Il constate que depuis quelque temps, en Alsace, on suspend, à la Noël, pour la récréation des enfants, des bonbons et des jouets aux branches d'un sapin.


Il déclare qu'il ignore d'où vient cet usage, ou ont pu tirer son origine qu'il blâme fortement. C'est en 1738 que Marie Leszczynska, épouse de Louis XV, aurait installé un sapin de Noël dans le château de Versailles. En 1765 encore, Goethe se trouvant à Leipsig, chez un ami, en face d'un arbre de Noël, exprime la surprise que lui cause ce spectacle qu'il voyait pour la première fois.

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